La damnation de Freud

(une nuit aux archives Freud)

Pièce en quatre actes de

 

Tobie Nathan, Isabelle Stengers et Lucien Hounkpatin

 

 

Tobie Nathan
est professeur de psychologie clinique à l'Université de Paris 8

Isabelle Stengers
est professeur de philosophie à l'Université libre de Bruxelles

Lucien Hounkpatin
est maître de conférences à l'Université de Paris 8

 

Le texte est paru aux empêcheurs de penser en rond en 1997

L'histoire se déroule en 1919. Sandor Ferenczi vient rendre visite à Sigmund Freud, à Vienne. En passant à l'hôpital militaire, il rencontre un patient africain, tirailleur sénégalais, mutique, manifestement victime d'une névrose de guerre. Ferenczi convainc Freud de recevoir cet africain chez lui pour vérifier sur un "primitif" la validité universelle des grands concepts psychanalytiques comme le complexe d'dipe. Freud se laisse convaincre et c'est ainsi que commence une étrange aventure. Un événement inattendu va contraindre Freud à faire un choix qui oblitèrera l'avenir de la psychanalyse.

Un texte drôle, dramatique et tendre qui évoque aussi tous les problèmes posés par l'extension des théories psychanalytiques aux populations non-occidentales…

 

 

La pièce a été mise en scène par Greg Germain

et jouée en 2001 et 2002 au Festival off d'Avignon

avec : Serge Feuillard (Sigmund Freud), Françoise Pavy (Martha Freud), Gunther Germain (Ferenczi), S. Kotto (Ekudi), Sarah Bromberg (Anna Freud), Greg Germain (Babatundé).

"Une démonstration éclatante." Dauphiné.

"Un trio d’auteurs gagnants... Une distribution splendide." La Marseillaise.

"Une satire joyeuse et enlevée." La Terrasse.

"Un vrai délice de Théâtre." Le Comtadin.

"Un texte essentiel." Semaine des Spectacles.

"Le meilleur rire est le ‘rire intelligent." AgoraPièces.

 

La pièce est reprise du 12 novembre 2004 au 18 décembre 2004 au théâtre de la place des Martyrs à Bruxelles…

«La Damnation de Freud» s'avère une oeuvre riche, dense et brillante, offerte à plusieurs niveaux de lecture et généreusement ouverte au spectateur.
Savants et «sauvage»

La Libre Belgique